Les artistes sont de plus en plus touches par la cause environnementale. Ils veulent laisser une trace engagée dans leur parcours artistiques. L’écologie se trouve désormais au cœur du monde artistique et les artistes nous font vibrer. Que ce soit dans la musique, dans nos assiettes ou au cinéma, l’environnement est roi.
Les chanteurs engagé
Les musiciens prennent position et souhaitent laisser une empreinte écologique dans leur création. On peut citer l’artiste interprète français Julien Doré, qui revient sur le devant de la scène plus confiant que jamais. Il aborde la surconsommation et le réchauffement climatique dans sa nouvelle chanson intitulée La Fièvre.
Will I am, du groupe Black eyed peas dénonce quant à lui le fait que la « Terre mère » se meure. Avec les paroles de sa chansons « SOS (Mother Nature) », il veut nous sensibiliser sur les ressources de la terre qui sont prises pour acquises.
L’écologie dans l’assiette
Les restaurateurs, à l’écoute de la tendance écologique actuelle, s’inspirent et adaptent leur style culinaire. Beaucoup de restaurants s’adaptent et adoptent une attitude plus engage. Notamment dans l’acquisition des labels réservés aux restaurants éco-responsables. On peut parler du label Écotable, mettant les restaurateurs au défi de l’anti gaspillage.
Mais les usagers ont modifié leurs habitudes alimentaires et veulent désormais montrer leurs convictions soit dans leurs achats ou dans le choix du restaurant. Ils vont privilégier ceux qui offrent des plats faits concoctés des produits locaux et bios.
Le 7ème art et l’écologie
De son côté, le cinéma souhaite aussi accompagner cette transition environnementale avec des messages plus impactant dans ses productions. On peut citer le grand réalisateur engage Al Gore qui a reçu le prix Nobel de la paix en faveur du climat. Il y a certaines réalisations telles que HOME, Tomorrow, ect. qui veulent conscientiser les humains sur les enjeux environnementaux.
D’ailleurs, il est incontestable que la meilleure façon de raconter l’histoire et la réalité reste les films. Ce qui prouve qu’il est nécessaire que l’industrie du 7eme art doive s’emparer de la cause écologique.